Vous avez sûrement déjà entendu parler du Genou Varum. Cette expression médicale est utilisée pour décrire l’affection de la mâchoire arquée qui touche un grand nombre de personnes. Comment savoir qu’on est atteint ? Quels sont les signes et les symptômes, et quelles sont les causes sous-jacentes, du genu varum ? Quel type de traitement existe-t-il ? Nous allons vous dire tout ce que vous devez savoir sur ce problème du genou.
Quelle est la fonction du genu varum ?
Le terme genu varum, dérivé du latin genu varum, désigne un problème de genou qui touche souvent les jeunes enfants. Les patients atteints de ce trouble ont tourné leur regard vers l’extérieur. Pour décrire ce phénomène, on utilise souvent l’expression épaules arquées. Il est plus fréquent que le problème du genou varum, qui est symbolisé par le phénomène inverse, lorsque les genoux sont tournés vers l’intérieur. Ce problème se manifeste souvent chez les jeunes enfants et tout au long de la croissance, notamment lors de l’apprentissage de la marche. Le génocide physiologique est évoqué à ce moment-là. Après l’âge de trois ans, il a généralement disparu. S’il n’est pas traité, certains cas d’arthrose du genou peuvent subsister à l’âge adulte et favoriser son développement.
Quelle est la meilleure façon de déterminer si un patient a un varum ?
Le genou varum se caractérise par des genoux distants et axés. Par conséquent, ils sont incapables d’établir un contact physique. Dans la plupart des cas, les deux genoux sont concernés, mais le problème peut être unilatéral dans d’autres cas. De même, le genou varum peut être à la fois symétrique et asymétrique. Il est normal qu’un enfant se sente ainsi. Par conséquent, il n’est pas surprenant de voir ce problème chez les enfants dès l’âge de trois ans.
En revanche, si le genou varum persiste, il devient pathologique et nécessite un traitement. À titre d’exemple, il peut entraîner des lésions du cartilage, voire une gonarthrose (arthrose du genou) à l’âge adulte. Le médecin examine la posture et la démarche du patient afin d’établir un diagnostic. Pour vérifier l’absence de douleurs ou d’autres anomalies, il procède ensuite à un examen couché. Les symptômes du varum sont nombreux : morosité ou appréhension à l’idée de se déplacer, gonflement du genou, déferlement, atteinte du cartilage.
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Des tests radiologiques peuvent confirmer le diagnostic
Jusqu’à l’âge de trois ans, le genou varum est un problème courant et totalement méconnu.
Cependant, s’il persiste pendant plus de trois ans, il est considéré comme une maladie qui nécessite un traitement. De multiples facteurs contribuent à la pathologie du genou. Elle peut être causée par une mauvaise localisation du fémur, ou être congénitale. De même, une carence en vitamine D peut être à l’origine d’une anomalie ou d’un ralentissement de la minéralisation de l’os. L’achondroplasie, la maladie de Marfan et la maladie de Blount sont autant d’exemples de maladies pouvant provoquer un genou varum, comme c’est le cas pour l’achondroplasie, le type de nanisme le plus fréquent. Enfin, il peut aussi être le résultat d’un traumatisme, comme une fracture du genou.
Existe-t-il un traitement pour le genre varum ?
Jusqu’à l’âge de trois ans, il n’y a pas besoin de traitement car le genou varum fait partie du développement normal de l’enfant et disparaît généralement en grandissant. Toutefois, si vous persévérez, d’autres options s’offrent à vous. La raison la plus courante d’effectuer une évaluation orthopédique est de recommander des semelles de chaussettes, des chaussures orthopédiques ou des appareils orthopédiques en fonction des circonstances individuelles. Un traitement à base de vitamine D peut être prescrit pour atténuer les fringales. Afin d’atténuer la douleur, le médecin peut également prescrire des antalgiques ou des anti-inflammatoires.
Enfin, face à des formes sévères, une intervention chirurgicale peut être envisagée, suivie de séances de kinésithérapie. Dans certaines circonstances, il est également possible d’anticiper le genou varum. En d’autres termes, une alimentation saine pour les enfants peut prévenir les carences en vitamine D et l’anémie, qui augmentent toutes deux le risque de cardiopathie congénitale. Le genou varum est fréquent chez les jeunes enfants, ne nécessite pas de traitement particulier jusqu’à l’âge de trois ans puisqu’il se résorbe naturellement tout au long de la croissance. Toutefois, si l’affection persiste, un traitement est nécessaire pour prévenir la détérioration du cartilage et l’apparition d’une arthrose du genou..